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Il parlait entre autres de rencontres au pur sélénien, similaires à bien celle que Madeleine venait de par suite apprécier, où chaque individu exposait ses trouvailles théologiques. Un passage du carnet mentionnait explicitement la « voïance Olivier » ( avec une orthographe fluctuante ). Malgré cette graphie imprécise, la résonance était claire : l’auteur décrivait une confrérie ou un mouvement, rapproché de la transmission orale et à bien la protection de ce qui cherchaient un soutien immédiate. On y lisait des récits de patients en détresse, accueillies ici pour quelques évènements, relativement souvent plus, et repartant soulagées d’un fardeau. Une inspiration en marge précisait que les visionnaires confiés en ces murs ne devaient jamais être trahis, conformément aux rudiments partagés par cette « voïance Olivier ». Sur les lignes suivantes, Michel rendait compte de signes de transfert entre membres de ce équipe. 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